1. |
Langueure
03:37
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Mode avion, ma vie sentimentale en Slow Motion
Ouais je mens quand je respire, dis moi si ça t’inspire
J'esquive toujours le pire
Sous les draps se dessine ton corps
Tu ne seras jamais,
Plus belle que dans mes yeux
Reste encore un peu,
Juste une heure ou deux
Distorsion, ne plus discerner la forme du fond
Les mots me manquent, les tiens aussi
On se ressemble pourtant je suis
Dans la descente, et je m’ennuie
Sens ma présence entre les lignes
Rejoins mon cœur en insomnie
J’ai défendu un alibi
Pour te plaire
T-Shirt blanc autour du coup
Sers moi la main, reprends le cours
De ta vie,
Ma chérie
Tu ne seras jamais,
Plus belle que dans mes yeux
Mais reste encore un peu,
Juste une heure ou deux
Tu ne seras jamais,
Plus belle que dans mes yeux
Reste encore un peu,
Juste une heure ou deux
Tu ne seras jamais,
Plus belle que dans mes yeux
Reste encore un peu,
Juste une heure ou deux
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2. |
Des nuits de ça
03:22
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J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
Oh, je me voyais déjà
Plonger dans vos regards
Voir se lever les bras
Il n’est jamais trop tard
On est bien, bien, bien, bien, bien, bien, bien, bien, bien
Tous blottis dans le noir
En attendant la suite
Pour caresser le soir
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
Oh, je te voyais déjà
Plonger dans mon regard
Voir se lever le drap
Il est toujours trop tard
On est là, là, là, là, là, là, là, là, là
Éblouis dans le soir
En attendant la fuite
Pour caresser le noir
Et retrouver la vie
Y retourner la nuit
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
J’avais rêvé des nuits de ça
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3. |
À terme
04:27
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Je jette un regard
Tout au fond de l’âme
Qui jadis habitait
Cet être inachevé
Enfin, me revient
La couleur des promesses
La douceur et l’ivresse
Des premiers matins
Des heures à compter les jours du bout des doigts
Si souvent j’ai lutté pour ne pas me voir partir
Regarde ce que dit la ville autour de toi
Ces humeurs qui soudain dans le soir vont t’envahir
Est-ce que tu sauras encore
Me serrer dans tes bras
Sans avoir de remords
Et dans ce grand décor
Me demander tout bas
Ce qui résonne alors
Enfin venu à terme
Dans le son je discerne
Mon corps si fatigué
Enfin venu à terme
Dans le son je discerne
Mon corps si fatigué
Enfin venu à terme
Dans le son je discerne
Mon corps si fatigué
Enfin venu à terme
Dans le son je discerne
Mon corps si fatigué
Enfin venu à terme
Dans le son je discerne
Mon corps si fatigué
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4. |
On va finir
03:41
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Comme un paysage
Qui te tend les bras
Traverse la page
Du bout de tes doigts
Comme un grand voyage
Qui te tend les bras
Revenir en phase, retenir l’emphase
Bout de paysage
On va finir par le faire
Je vais finir par me taire
Pourquoi pas tout foutre en l’air
En l’air
Retrouver l’image, quelque part en soi
Toujours j’ai la rage, qui sommeille en moi
Amer est l’image
De te voir si bas
Comme un paysage, qui te tend les bras
Traverse la page, du bout de tes doigts
Comme un grand voyage
Qui te tend les bras
On va finir par le faire
Je vais finir par me taire
Pourquoi pas tout foutre en l’air
En l’air
On va finir par le faire
Je vais finir par me taire
Pourquoi pas tout foutre en l’air
En l’air
On va finir par le faire
Je vais finir par me taire
Pourquoi pas tout foutre en l’air
En l’air
On va finir par le faire
Je vais finir par me taire
Pourquoi pas tout foutre en l’air
En l’air
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5. |
Portamento
05:48
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Rien n’est plus beau que de regarder
Les gens qui chantent et dansent dans la télé
Rien n’est plus vain que de contempler
Un corps qui soudain, s'apprête à changer
Et je glisse encore, comme un portamento
Ouais je glisse encore, comme un portamento
Rien n’est plus grand que de retrouver
La voix du garçon connue un été
Rien n’est plus long que de commencer
Entendre le son, se mettre à danser
Et je glisse encore, comme un portamento
Ouais je glisse encore, comme un portamento
Et je glisse encore, comme un portamento
Ouais je glisse encore, comme un portamento
Et je glisse encore, comme un portamento
(Glisse encore, ouais je glisse encore, glisse encore, ouais je glisse encore)
Ouais je glisse encore, comme un portamento
(Glisse encore, ouais je glisse encore, glisse encore, ouais je glisse encore)
Et je glisse encore, comme un portamento
Ouais je glisse encore,
(Glisse encore, ouais je glisse encore, glisse encore, ouais je glisse encore)
Et je glisse encore, comme un portamento
Ouais je glisse encore,
(Glisse encore, ouais je glisse encore, glisse encore, ouais je glisse encore)
Ouais je glisse encore,
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Since Charles Marseille, France
Since Charles, un pseudo anglophile pour un projet pourtant bien français, celui de Charles Sinz, chanteur et unique musicien, aux synthés, machines et à la guitare.
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